VACCINATIONS : tout va très bien, tout le monde est contant...
la "ministre de la maladie" a fait son travail, et rassurer tout le monde, circuler il n'y a plus rien à voir… Si votre enfant meurt ou est atteint de très graves troubles ce n’est pas le vaccins ni le surdosage de vaccins ; il ne vous restera que vos yeux pour pleurer. Le Figaro fait savoir qu’« un an et demi après le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires, l’Agence de sécurité du médicament publie un rapport rassurant qui montre qu’il n’y a pas eu de hausse du nombre des cas d’effets indésirables ».
Un rapport de l'Agence du médicament confirme la sécurité des 11 vaccins obligatoires »
Le Figaro
 
Le journal explique ainsi que « pour la première fois, l’ANSM publie le détail de tous les cas d’effets indésirables signalés pendant plusieurs années. L’étude [...] montre qu’«aucun nouveau signal de sécurité n’a été mis en évidence» ».
Alban Dhanani, directeur adjoint en charge des vaccins à l’ANSM, précise : « Nous avons analysé toutes les déclarations de cas d’effets ou d’événements indésirables survenus chez des enfants vaccinés entre 0 et 23 mois, enregistrés dans la base nationale de pharmacovigilance sur la période 2012-2017 et au cours des 6 mois suivant l’extension ».
Le spécialiste indique que « le bilan est rassurant et confirme la sécurité des vaccins. D’abord, nous n’avons pas identifié de changement depuis l’extension de l’obligation vaccinale. Nous retrouvons un nombre et un type d’effets comparables. Ensuite, les effets indésirables signalés correspondent pour la grande majorité à ceux mentionnés dans la notice des vaccins. Ils sont pour la plupart mineurs, transitoires et sans conséquence pour la santé de l’enfant ».
Le Figaro relève que « sur les 38 millions de doses de vaccins administrées entre 2012 et 2017, 962 nourrissons ont connu un ou plusieurs effets ou événements indésirables, soit 0,02% de l’ensemble des doses administrées. Pour la moitié, ces effets n’étaient pas graves (fièvre passagère, réactions locales, pleurs persistants, manifestations cutanées, diarrhée, vomissements) ».
« Pour les autres, les cas «graves», il s’agissait de fièvre (215 cas), de convulsions et d’épisodes d’hypotonie - une faiblesse du tonus musculaire - (139 cas) et d’éruptions cutanées (79 cas). Enfin, 44 cas concernaient des affections hématologiques avec une prédominance de thrombopénies (baisse importante des plaquettes dans le sang) », continue le journal.
Il ajoute que « 23 décès ont été recensés, dont près de la moitié concernait des enfants «souffrant de lourds antécédents ou d’affections sévères pouvant expliquer l’issue fatale», indique l’ANSM. Les autres correspondaient à 11 décès inattendus, dont 5 morts subites du nourrisson, et l’une a été provoquée par une pneumopathie à pneumocoque consécutive à un échec vaccinal ».
L’ANSM souligne que « les relations entre vaccination et mort inattendue ont été largement étudiées sans pour autant qu’un lien ait pu être établi ».
Le Figaro continue : « Les experts de l’agence ont ensuite passé au peigne fin les cas signalés au premier semestre 2018. Sur cette période, 75 nourrissons ont fait l’objet d’une déclaration, dont 42 ont été jugés «non graves». Les causes les plus fréquemment rapportées sont les mêmes qu’avant l’extension de l’obligation vaccinale : fièvre, convulsions, épisodes d’hypotonie, éruptions cutanées. Aucun décès n’a été rapporté sur cette période ».
Le quotidien relève en outre : « Ces effets indésirables sont-ils imputables au vaccin ? Il n’est pas toujours facile de le savoir. Dans certains cas, d’autres causes ont été trouvées. Par exemple, certains enfants ayant souffert de convulsions ont été diagnostiqués épileptiques. Mais il arrive que les vaccins soient impliqués ».
Le Figaro observe ainsi que « parmi les 37 enfants qui ont présenté des épisodes d’apnée consécutifs à une vaccination sur la période 2012-2017, la plupart sont nés prématurés. Or «diverses études ont démontré que les prématurés nés à moins de 32 semaines pouvaient présenter lors de la vaccination une recrudescence d’apnées, de bradycardies et/ou de désaturation», lit-on dans le rapport. De même, le risque d’hypotonie semble être fortement lié au vaccin contre la coqueluche ».
Alban Dhanani précise que « comme tous médicaments, les vaccins sont susceptibles de provoquer des effets indésirables. Mais par rapport au nombre d’enfants vaccinés, ils sont extrêmement rares, en particulier les effets indésirables graves. Les bénéfices de la vaccination excèdent de loin les risques ».
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