LA VACCINATION les nanoparticules nocives et L'Autisme
VACCINATION : LES NANOPARTICULES DANGEREUSES USA Nous serons étonnés qu’il nous ait fallu tant de temps pour comprendre la fraude commanditée par l’industrie au sujet de la sécurité des vaccins. ITALIE Les deux chercheurs veulent prouver la présence de nanoparticules nocives dans les vaccins. Et comprendre les raisons de milliers de décès et de maladies graves chez les personnels militaires italiens. Risque significatif de développer des cancers et des maladies auto-immunes, par les adjuvants (par exemple, aluminium ou mercure), conservants et contaminants biologiques – virus, bactéries, mycoplasmes et mycobactéries...des quantités élevées d’ADN humain et animal retrouvées dans certains vaccins (ROR) et de la présence de nanoparticules inflammatoires polluant tous les vaccins. Et pour déterminer les changements du système immunitaire et notamment son hyper-activation. DANEMARK Des médecins danois portent plainte. L’agence chargée des autorisations de mise sur le marché des médicaments dans l’Union européenne n’aurait pas suffisamment pris en compte des signalements d’effets indésirables du vaccin contre le papillomavirus (HPV). Des scientifiques ont effectué des recherches approfondies sur les troubles auto-immuns pouvant être causés par la vaccination. FRANCE La ministre de la Santé Agnès Buzyn déclare : « Nous avons la certitude que ces vaccins sont inoffensifs » qui croire ? Les substances toxiques dans les vaccins sont de plus en plus préoccupantes. les effets sur la santé de l’exposition humaine au mercure comprennent les difficultés cognitives (comme l’autisme), la perte de mémoire et de vision, les problèmes de coordination, les tremblements, les éruptions cutanées et l’instabilité de l’humeur. Le mercure est une neurotoxine connue, mais il est encore injecté à des personnes de tous âges avec une régularité alarmante. Ils ne pourront plus dire qu’ils ne savaient pas. DTP, coqueluche, rubéole, rougeole, oreillons, varicelle, hépatite B et hémophilus de type B, les méningocoques B et C, l'anti-pneumocoque et l'antirotavirus.. aucune étude n’a été effectuée pour déterminer les effets synergiques potentiels de plusieurs ingrédients vaccinaux administrés en combinaison.
 
USA
Un député US déclare aux électeurs que les vaccins peuvent causer l’autisme
Par Jonathan ExoPortail -décembre 16, 20180
Selon cet article paru dans le Tennessean, le député élu Mark Green a dit à ses électeurs non seulement qu’il pensait qu’il pourrait y avoir une relation causale entre les vaccins et l’autisme, mais il suggère que les Centers for Disease Control (CDC) ont «géré frauduleusement» les données des recherches que le CDC utilise pour établir un lien entre vaccins et autisme. Comme le confirme la vidéo ci-dessous, Green, qui est d’ailleurs aussi un médecin agréé, lance vraiment un véritable défi contre le CDC.
 
 «Permettez-moi de dire ceci au sujet de l’autisme. Je me suis engagé auprès des gens de ma communauté, dans le comté de Montgomery, à prendre la parole devant le CDC et à obtenir les vraies données sur les vaccins. Parce qu’on s’inquiète du fait que l’augmentation de l’autisme est attribuable aux agents de conservation qui sont présents dans nos vaccins.
En tant que médecin, je peux faire valoir cet argument et je peux l’examiner sur le plan académique et faire valoir l’argument contre le CDC, s’ils veulent vraiment m’y faire participer. Mais il semble que certaines de ces données aient été peut-être gérées frauduleusement. Nous devons donc nous y opposer et faire en sorte de régler ce problème.»
 
Conclusion :
 
Si vous suivez le débat sur les vaccins et l’autisme depuis un certain temps, vous savez sans doute que les personnalités publiques prennent rarement le risque d’affronter l’axe Big Pharma-CDC, car elles sont sujettes aux conséquences graves et dévastatrices pour leurs carrières. La remise en question du récit officiel selon lequel les vaccins se sont avérés sûrs et ne sont pas corrélés à l’incidence de l’autisme, c’est comme si l’on s’attaquait à un vieux mur de briques. Avec chaque brique enlevée, de plus en plus de gens voient les trous dans le discours dominant, et les opposants à l’innocuité des vaccins deviennent de plus en plus audacieux et directs face à leurs défis. Je crois que dans un avenir pas si lointain, nous nous souviendrons de cette époque et de cette histoire et nous serons étonnés qu’il nous ait fallu tant de temps pour comprendre la fraude commanditée par l’industrie au sujet de la sécurité des vaccins.
 
 
( Pour aller plus loin vous avez ici une liste d’articles scientifiques sur le danger des vaccins : https://exoportail.com/?s=vaccins ou encore le Documentaire Antivaccin : «Vaxxed, de la dissimulation à la catastrophe» qui a été censuré parlement européen en février 2017)
 
 
ITALIE FRANCE  
Le nouveau gouvernement Italien veut mettre fin aux vaccins obligatoires
Par Jonathan ExoPortail -juillet 8, 20181
La nouvelle ministre de la Santé italienne, Giulia Grillo
Fidèle à ses promesses électorales, le gouvernement de coalition formé par le mouvement 5 étoiles (M5s) et la Ligue, s’apprête à démanteler la loi sur les 10 vaccinations obligatoires introduites en septembre 2017 par le centre-gauche. Un arrêté signé par Giulia Grillo, nouveau ministre de la Santé et membre de la nomenclature du M5S, va modifier un des points importants du dispositif.
 
Selon la loi en vigueur, les parents d’enfants en âge d’être scolarisés en maternelle ou insérés en crèches, doivent présenter un certificat de vaccination d’ici au 10 juillet afin de pouvoir les inscrire pour la rentrée prochaine. Avec le nouveau dispositif, cette date butoir va disparaître du calendrier scolaire. La deuxième étape sera franchie avec l’ouverture d’un débat parlementaire a annoncé la ministre de la Santé dans une note officielle.
 
Des positions un peu différentes :
 
La question de la vaccination obligatoire a été inscrite par les deux partis dans le contrat de gouvernement signé par les leaders, Luigi Di Maio (M5s) et Matteo Salvini (Ligue). Leurs positions sont proches mais pas tout à fait identiques. Pour la nomenclature du M5S, la vaccination est essentielle pour combattre la résurgence de certaines épidémies mais ne doit pas être obligatoire. Le mouvement veut intensifier les campagnes de sensibilisation. Le patron de la Ligue toujours haut en couleurs, soutient en revanche le courant « no vax », les anti-vaccins. Il y a quelques jours, Matteo Salvini a réaffirmé durant une émission radiophonique, que « dix vaccins sont inutiles et dangereux ». Il a jeté un autre pavé dans la mare en remerciant toujours en direct, un couple de médecins qui a lancé une campagne de fonds afin d’acheter un microscope dont le coût est estimé à 70 000 euros. Avec cette opération, les deux chercheurs veulent disent-ils, prouver la présence de nanoparticules nocives dans les vaccins.
 
Ajouts :
 
Connaitre ses droits c’est se défendre contre l’obligation vaccinale :
 
 
 
( Alerte Santé: le Conseil National de Recherche d’Italie découvre que les vaccins sont contaminés par des nanoparticules toxiques )
 
 
 
ITALIE 
Vaccins : un rapport parlementaire italien explosif
Par Jonathan ExoPortail -mars 18, 20180
Au moment où la Commission à l’Environnement, la Santé publique et la Sécurité alimentaire du Parlement européen s’apprête à soumettre au vote une résolution sur « les réticences à la vaccination et la baisse du taux de vaccination en Europe », un pavé tombe dans la mare des certitudes vaccinolâtres.
 
Ce pavé, c’est le rapport officiel d’une Commission d’enquête parlementaire italienne rendu public le 7 février 2018. L’objet du rapport : comprendre les raisons de milliers de décès et de maladies graves chez les personnels militaires italiens affectés à des missions à l’étranger. Les experts ont pris en compte tous les facteurs de risques auxquels ils ont été exposés, au premier rang desquels l’uranium appauvri présent dans les bombes et d’autres agents liés à l’armement. Mais ils ont également analysé d’autres facteurs de risque, notamment pour les soldats jamais partis en mission, et l’un d’entre eux retiendra en particulier notre attention en ce moment : les vaccins.
 
Après 18 années d’enquête pour déterminer les causes de milliers de décès, cette Commission parlementaire a identifié un risque significatif de développer des cancers et des maladies auto-immunes après l’administration de vaccins combinés et multi-doses, tels que recommandés dans le calendrier de prévention militaire (p. 156 du rapport). Rappelons ici que les vaccins pour les militaires sont identiques aux vaccins pour les enfants (pp. 156-157).
 
Les résultats de l’examen de la Commission – dont les intérêts ne sont ni en faveur, ni opposés aux vaccins et qui ne peut être considérée comme « appartenant à des mouvements réticents à la vaccination », – sont un sérieux signal d’alarme dans le contexte actuel de l’extension des obligations vaccinales en Europe. Les éléments qui suivent devraient donc faire réfléchir à deux fois les autorités européennes :
 
• La Commission n’a pas pu trouver une seule étude démontrant la sûreté des vaccins combinés (p. 154).
 
• La Commission a estimé que « la quantité cumulée des différents composants des vaccins dépasse les quantités autorisées pour les autorisations de mise sur le marché des vaccins monovalents » . Cela signifie que dans les vaccins combinés, la somme des adjuvants (par exemple, aluminium ou mercure), conservants et contaminants biologiques – virus, bactéries, mycoplasmes et mycobactéries, ainsi que l’ADN fœtal humain ou d’ADN animal, provenant des tissus organiques de culture pour la fabrication des vaccins – n’a pas été testée.
 
• « Les vaccins qui ont un nombre important de composants en termes quantitatifs, mais aussi en variété des composants étrangers, déterminent un nombre plus élevé d’effets secondaires. » (p. 139)
 
• Entre autres, la Commission s’inquiète de l’usage et de la sécurité des vaccins à base d’adjuvants aluminiques (p. 160) (type vaccins « polio » hexavalents recommandés aussi chez les enfants), des quantités élevées d’ADN humain et animal retrouvées dans certains vaccins (ROR) et de la présence de nanoparticules inflammatoires polluant tous les vaccins. (pp. 157, 159, 165)
 
Les recommandations de la Commission parlementaire pour l’immunisation incluent :
 
• L’utilisation de vaccins et de doses isolés plutôt que de vaccins combinés(p. 186)
 
• Ne pas administrer plus de 5 vaccins (souches vaccinales différentes) lors d’une seule visite.
 
• Une évaluation individuelle des risques avant la vaccination (pp. 126, 186) à partir des tests sanguins et des antécédents médicaux du patient. Ces tests ont pour objectif de déterminer les changements du système immunitaire et notamment son hyper-activation. La Commission a identifié 81 éléments à tester, en plus des composants actifs des vaccins (pp. 170). Les notices des vaccins recommandent d’ailleurs la vérification de l’état de santé de la personne à vacciner au moment de l’administration du vaccin (pp. 143, 148). Se basant sur ces notices, la Commission a énuméré une série de maladies qui contre-indiquent la vaccination. Le nombre cumulé des effets secondaires repris dans les notices examinées pour les militaires, s’élève à 240. (p. 174) (Précisons que la Commission a uniquement analysé les notices des fabricants, mais que le nombre des effets secondaires mentionné dans les rapports de suivi est nettement plus élevé.)
 
• Un suivi à long terme de chaque vaccin individuel (1, p. 154).
 
• De ne pas revacciner pour une maladie pour laquelle l’immunité est déjà existante, comme pour les personnes ayant fait des maladies d’enfance.
 
Les recommandations de la Commission parlementaire pour une politique vaccinale plus sûre incluent :
 
• Le développement de vaccins « purifiés » pour limiter l’accumulation de composants toxiques. (p. 155)
 
• Des études permettant d’évaluer les effets et la sûreté de la vaccination à moyen et long termes. La plupart des vaccins ne sont évalués que sur une très brève période, quelques jours parfois ou semaines et généralement moins d’un mois. (pp. 155, 185)
 
• De meilleures études sur les composants des vaccins, notamment les adjuvants et contaminants.
 
« Erreur en deçà des Alpes, vérité au-delà » ?
 
À la lecture de ce rapport, tout ce qu’il y a de plus officiel, plusieurs questions se posent :
 
• Si un militaire court un risque avec plus de 5 vaccins, nos enfants sont-ils vraiment en sécurité avec 9, 11 ou 21 (par ex. hexavalent 8 souches + Prevenar 13) ?
 
• Que dira notre ministre de la Santé Agnès Buzyn des conclusions de ce rapport, elle qui déclarait encore il y a peu : « Nous avons la certitude que ces vaccins sont inoffensifs » ?
 
• Les autorités européennes peuvent-elles en conscience ignorer les conclusions de ce rapport et s’engager résolument dans la fuite en avant que constitue la proposition de résolution du Parlement européen sur les réticences à la vaccination ?
 
En effet, l’Article 3 de la proposition de résolution du Parlement européen « souligne que les vaccins sont sûrs selon l’OMS, puisqu’un vaccin autorisé est rigoureusement testé lors de multiples essais cliniques, avant que son utilisation ne soit approuvée, et ensuite régulièrement réévalué après sa mise sur le marché » .
 
Nous vous reparlerons prochainement des avancées de ce projet européen, et comment vous pouvez vous mobiliser, mais sachez d’ores et déjà qu’une copie du rapport a été transmise au Parlement européen, et les quelques éléments qui précèdent aux députés européens. Ils ne pourront plus dire qu’ils ne savaient pas.
 
Références :
 
Rapport entier de la commission parlementaire italienne ici
 
Traduction en anglais validée par la cour de Gènes ici.
 
 
https://exoportail.com/vaccins-un-rapport-parlementaire-italien-explosif/
 
 
Italie : la ministre de la Santé veut mettre fin aux vaccins obligatoires   Par Ariel F. Dumont  Publié le 06/07/2018 à 14:38
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Durant leur campagne électorale, le Mouvement 5 étoiles et la Ligue avaient promis de mettre un point final à la vaccination obligatoire pour toute inscription des petits Italiens en collectivité. Le dispositif introduit l'an dernier par le ministère de la Santé devrait donc bientôt disparaître.
Fini, la piqûre obligatoire ! La ministre de la Santé italienne, Giulia Grillo, a annoncé ce jeudi 5 juillet qu'elle allait faire adopter la semaine prochaine un dispositif ciblant la disparition de la vaccination obligatoire. Rajoutant un peu d’huile sur le feu alors que les Britanniques accusent les Italiens d’être à l’origine de la recrudescence de la rougeole au Royaume-Uni. Dans un rapport cité par le Times, l’agence britannique Public Health England remet ainsi en cause la couverture vaccinale italienne insuffisante à l’échelle nationale, et donc aussi la position anti-vaccin du Mouvement 5 étoiles (M5s) et de la Ligue du Nord au pouvoir, annoncée comme à l’origine d’une future vague de nouvelle épidémies. Ou pour le moins, d’une résurgence de certaines maladies que l’on croyait éradiquées.
 
Une définition rejetée par Giulia Grillo, qui parle au contraire de situation « sous contrôle ». La couverture vaccinale obligatoire serait donc devenue inutile, selon elle. La nouvelle va sacrément réjouir l’électorat anti-prophylaxie du M5s et de la Ligue. La ministre a toutefois ajouté : « Je suis enceinte et je ferai vacciner mon enfant ». Plutôt paradoxal !
 
"Il faut alléger la pression et la remplacer par des campagnes de sensibilisation"
 
Selon Giulia Grillo, un an après l’introduction de dix piqûres indispensables lors de l’inscription des petits Italiens en collectivité (DTP, coqueluche, rubéole, rougeole, oreillons, varicelle, hépatite B et hémophilus de type B, alors que les méningocoques B et C, l'anti-pneumocoque et l'antirotavirus sont seulement recommandés par l'Institut supérieur de la Santé), la couverture nationale a donc augmenté. Même si la situation varie selon les régions. Mais avec ce nouveau contexte, la ministre de la Santé estime qu'« il faut alléger la pression et la remplacer par des campagnes de sensibilisation, la population devant prendre conscience de l’importance de la vaccination ».
 
Pour pousser les parlementaires des deux chambres, qui devront approuver ou rejeter le projet du gouvernement de blocus sur la piqûre obligatoire, Giulia Grillo a annoncé la mobilisation des bureaux départementaux et régionaux. Objectif : obtenir des statistiques précises sur la couverture vaccinale. En parallèle, la ministre de la Santé a signé un accord avec les producteurs de vaccins portant sur la réduction de 50% de leurs prix, une mesure qui devrait inciter les parents à faire piquer leurs chers petits.
 
Tandis que le gouvernement perfectionne son projet de démolition, la communauté médicale se mobilise. L’idée est d’essayer de faire pression sur la sensibilité de la ministre de la Santé pro-vaccin mais anti-dispositif obligatoire pour des raisons purement politiques, en brandissant les statistiques sur la mortalité et les pathologies liées à la non-vaccination. La bataille sera difficile.
https://www.marianne.net/monde/italie-la-ministre-de-la-sante-veut-mettre-fin-aux-vaccins-obligatoires
 
FRANCE
Proposition de Loi pour rendre obligatoire le vaccin contre le papillomavirus
Par Jonathan ExoPortail -juillet 20, 20184
J’attire votre attention sur cette proposition de Loi toute récente qui vise à ajouter le vaccin contre le papillomavirus sur la liste des vaccinations obligatoires :
 
Quelques extraits de le proposition de Loi :
 
«En France, la vaccination HPV est recommandée pour toutes les jeunes filles de 11 à 14 ans. Deux ou trois injections sont nécessaires en fonction du vaccin utilisé et de l’âge. Par ailleurs, dans le cadre du rattrapage vaccinal, la vaccination est recommandée pour les jeunes filles et jeunes femmes entre 15 et 19 ans. Une recommandation vaccinale est également formulée pour les immunodéprimés, et les hommes homosexuels jusqu’à 26 ans. Aujourd’hui, la sécurité sociale rembourse les deux vaccins disponibles sur le marché français à hauteur de 65 %.»
 
«Compte-tenu des résultats obtenus dans les pays pratiquant une vaccination quasi systématique et mixte, il apparaît indispensable d’ajouter la vaccination contre le papillomavirus humain dans le calendrier vaccinal obligatoire.»
 
«Le coût humain et financier de la prise en charge des malades atteints d’un papillomavirus, mais également l’étendue de la contamination justifient cette mesure.D’autant que toutes les études ont démontré qu’il n’y avait pas d’augmentation du risque de pathologie auto-immune après administration d’un vaccin HPV.»
 
La proposition de Loi est consultable en entier sur le site de l’assemblée nationale : http://www.assemblee-nationale.fr/15/propositions/pion1118.asp
 
Au delà de l’inquiétude légitime sur l’ajout d’un nouveau vaccin obligatoire, il convient de mettre en évidence le caractère biaisé des analyses sur le vaccins du papillomavirus, cette liste d’exemples n’est pas du tout exhaustive :
 
Vaccin contre le papillomavirus : des médecins danois portent plainte contre l’Agence européenne des médicaments :
 
«Ce ne sont pas des associations de malades qui sortent du silence, mais bien des institutions médicales. Plusieurs médecins et chercheurs danois ont décidé de déposer une plainte contre l’Agence européenne des médicaments (EMA). Longue de « plus de cinquante pages », la plainte a été déposée par le Nordic Cochrane Centre, ainsi que des institutions, des médecins et des chercheurs. Lundi 5 décembre, les services de la médiatrice européenne l’ont déclarée recevable. L’agence chargée des autorisations de mise sur le marché des médicaments dans l’Union européenne n’aurait pas suffisamment pris en compte des signalements d’effets indésirables du vaccin contre le papillomavirus (HPV).»
 
En lire plus : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/vaccin-contre-le-papillomavirus-des-medecins-danois-portent-plainte-contre-lagence-europeenne-des-medicaments_1960961.html
 
Des scientifiques expliquent pourquoi les vaccins HPV sont dangereux :
 
«Des scientifiques qui ont effectué des recherches approfondies sur les troubles auto-immuns pouvant être causés par la vaccination, ont publié un nouveau papier dans l’American Journal of Reproductive Immunology (Journal Américain d’Immunologie de la Reproduction) au terme duquel ils estiment qu’ « Il appartient aux médecins de rester dans les règles rigoureuses de la médecine fondée sur les preuves afin de pouvoir adéquatement évaluer les risques et les avantages de la vaccination contre le HPV. Dans leur article, il apparaît clairement qu’il n’existe pas de preuves d’un rapport bénéfices/risques positif pour les vaccins contre le papillomavirus humain (HPV), Gardasil et Cervarix.»
 
En lire plus : http://initiativecitoyenne.be/article-des-scientifiques-expliquent-pourquoi-les-vaccins-hpv-sont-dangereux-119552093.html
 
Des effets secondaires graves du vaccin contre le papillomavirus volontairement minimisés par les laboratoires ?
 
«Les laboratoires Merck et GlaxoSmithKline ont utilisé de faux placebos et manipulé les résultats de plusieurs études pour minimiser les risques liés à leurs vaccins contre le papillomavirus, le Cervarix et le Gardasil. C’est la principale conclusion d’un article paru le 20 juillet dernier dans la revue Clinical Rheumatology. Menée par deux chercheurs de l’Institut national de cardiologie du Mexique, l’enquête passe au crible pas moins de 28 études récentes (16 tests randomisés et 12 études de cas réalisés après la mise sur le marché desdits vaccins). Ce qu’elle montre est inquiétant.»
 
en lire plus : https://www.alternativesante.fr/vaccins/des-effets-secondaires-graves-du-vaccin-contre-le-papillomavirus-volontairement-minimises-par-les-laboratoires-des-chercheurs-denoncent-une-manipulation-des-chiffres-dans-les-etudes-de-reference
 
https://exoportail.com/attention-proposition-de-loi-pour-rendre-obligatoire-le-vaccin-contre-le-papillomavirus/
 
10 ingrédients toxiques que vous ne pensiez pas retrouver dans la plupart des vaccins
Par Jonathan ExoPortail -avril 15, 20182
Les substances toxiques nous entourent sous de nombreuses formes, mais celles que l’on trouve dans les vaccins sont de plus en plus préoccupantes pour les parents, et à juste titre. Des substances dangereuses abondent dans les vaccins que nos agences gouvernementales ne cessent de répéter qu’ils sont sans dangers.
 
En plus du thimérosal, un agent de conservation à base de mercure étant une neurotoxine connue qui a été associée à de nombreux problèmes de santé graves y compris l’autisme, les vaccins sont truffés d’autres composants souvent douteux, à savoir :
 
Aluminium
Antibiotiques
Protéine d’œuf
Formaldéhyde
Glutamate monosodique (MSG)
Squalène
Gélatine
Polysorbate 80
Tissus fœtaux humains avortés
…. aucune étude n’a été effectuée pour déterminer les effets synergiques potentiels de plusieurs ingrédients vaccinaux administrés en combinaison.
 
Vous trouverez ici ( Lien en Anglais ) une liste exhaustive de tous les ingrédients contenus dans tous les vaccins, mais il est important de souligner (ou plutôt de mettre en lumière, si vous voulez) quels sont les composants les plus puissants et quel impact ils peuvent avoir sur la santé de nos enfants.
 
1. Thimérosal :
 
L’American Academy of Pediatrics (AAP) affirme que le thimérosal a été retiré des vaccins pour enfants par mesure de précaution en 2001, mais les derniers lots de vaccins de série pour enfants contenant du thimérosal n’ont en fait expiré qu’en janvier 2003. On nous a fait croire que le thimérosal était éliminé de tous les vaccins, mais ce n’était pas le cas. On le trouve dans certains vaccins contre la grippe – y compris certains vaccins administrés aux nourrissons et aux femmes enceintes – dans le vaccin antitétanique (Tt) et les vaccins antiméningococciques. Plus de 80 études compilées par le World Mercury Project montrent que les effets sur la santé de l’exposition humaine au mercure comprennent les difficultés cognitives (comme l’autisme), la perte de mémoire et de vision, les problèmes de coordination, les tremblements, les éruptions cutanées et l’instabilité de l’humeur. Le mercure est une neurotoxine connue, mais il est encore injecté à des personnes de tous âges avec une régularité alarmante.
 
( Note ExoPortail : en France, un seul vaccin commercialisé actuellement contient du thiomersal -vaccin SPIROLEPT, contre la leptospirose. Le retrait du composant dans les autres vaccins s’est aligné sur la décision américaine )
 
2. Aluminium :
 
Les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) expliquent que des gels ou des sels d’aluminium sont ajoutés comme adjuvants pour aider le vaccin à stimuler une meilleure réponse immunitaire, c’est-à-dire être plus efficace. Sans l’aluminium, il faudrait peut-être plus de doses d’un vaccin pour assurer une protection adéquate, selon le AAP (American Academy of Pediatrics) . L’aluminium est un métal toxique auquel nous sommes déjà régulièrement exposés par la nourriture, l’air et l’eau, étant donné sa présence naturelle dans la croûte terrestre. Alors que la plupart des médecins conventionnels insistent sur le fait qu’il ne pose aucun problème, de nombreux chercheurs indépendants se méfient de la supposée sécurité de l’aluminium. Le National Vaccine Information Center (NVIC), un organisme à but non lucratif fondé en 1982 pour prévenir les accidents et les décès dus aux vaccins par l’éducation du public, souligne sur son site Web le manque choquant de preuves scientifiques que l’aluminium injecté est sans danger. Et les parents doivent être conscients que la quantité d’aluminium à laquelle les bébés et les jeunes enfants sont exposés par l’intermédiaire des vaccins a considérablement augmenté au cours des dernières années. Selon le journaliste de recherche médicale Neil Z. Miller :
 
«Les vaccins contenant de l’aluminium ont été ajoutés au calendrier de vaccination des enfants lorsque certains vaccins contenant du mercure ont été retirés. Avant l’élimination progressive du mercure (avant 2000), les bébés recevaient 3 925 mcg d’aluminium à l’âge de 18 mois. Après l’ajout des vaccins antipneumococcique et anti-hépatite A, les bébés ont commencé à recevoir 4 925 mcg d’aluminium au cours de la même période d’âge, soit une augmentation de 25 %.»
 
3. Antibiotiques :
 
Les antibiotiques ajoutés aux vaccins sont là pour empêcher la croissance des germes pendant la production et le stockage du vaccin. Il y a eu beaucoup de débats ces derniers temps sur les risques d’exposer les enfants aux antibiotiques trop tôt dans leurs vies. Une étude récente a en particulier révélé que l’utilisation multiple d’antibiotiques dans la petite enfance peut entraîner un gain de poids, une augmentation de la croissance osseuse et une altération des bactéries intestinales.
 
4. Protéine d’œuf :
 
Les vaccins antigrippaux sont le plus souvent fabriqués selon un procédé de fabrication à base d’œufs, qui est utilisé pour fabriquer à la fois le vaccin antigrippal et le «spray nasal»,selon les CDC. Le vaccin contre la fièvre jaune est également fabriqué de cette façon, ce qui met en danger toute personne allergique aux œufs si elle reçoit l’un ou l’autre de ces vaccins, quelle que soit la teneur en protéines d’œuf.
 
5. Formaldéhyde :
 
Le formaldéhyde est ajouté aux vaccins pour tuer les bactéries et les virus indésirables qui pourraient contaminer le vaccin pendant la production. Le CDC affirme que la plupart du formaldéhyde est retiré du vaccin avant qu’il ne soit emballé, ce qui n’est qu’une autre façon de dire que tout n’est pas enlevé. Selon le «National Institute of Environmental Health Sciences», le formaldéhyde est un cancérogène pour l’homme.
 
6. Glutamate monosodique :
 
Plus communément appelé additif alimentaire, le MSG est également utilisé comme stabilisateur pour aider les vaccins à rester inchangés lorsqu’ils sont exposés à la chaleur, à la lumière, à l’acidité ou à l’humidité, toujours selon les CDC. La consommation de MSG est connue pour causer des maux de tête chez certaines personnes. Il peut aussi causer de la fatigue, de la désorientation et des palpitations cardiaques, selon la Clinique Mayo. Le MSG a été appelé «excitotoxine», terme utilisé pour décrire une classe de produits chimiques (généralement des acides aminés) qui lorsqu’ils stimulent excessivement les récepteurs neuronaux dans le cerveau, entraînent la mort de ces récepteurs.
 
7. Squalène :
 
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) décrit le squalène comme «un composant de certains adjuvants qui est ajouté aux vaccins pour améliorer la réponse immunitaire». Il s’agit d’une substance naturelle dérivée principalement de l’huile de foie de requin, que l’on retrouve dans les aliments, les cosmétiques, les médicaments en vente libre et les suppléments. Lorsqu’il est combiné à d’autres ingrédients, il devient un adjuvant qui, comme l’aluminium, est ajouté aux vaccins pour provoquer une réponse immunitaire plus forte de l’organisme. L’OMS note que la plupart des personnes qui ont reçu des vaccins contenant du squalène se trouvent dans des groupes d’âge plus âgés, et que nous ne savons pas vraiment comment cette composante pourrait avoir un impact sur les jeunes.Une étude réalisée en 2000 a révélé qu’une seule injection d’adjuvant squalène produisait de l’arthrite chez le rat et, bien que d’autres recherches soient nécessaires, plusieurs croient que le vaccin anti-anthrax contenant du squalène est le principal responsable du déclenchement du syndrome de la guerre du Golfe chez les troupes américaines qui ont servi pendant la guerre du Golfe persique au début des années 1990.
 
8. Gélatine :
 
Cet ingrédient de vaccin couramment utilisé est fabriqué en faisant bouillir de la peau ou du tissu conjonctif, généralement à partir d’un porc. La gélatine est utilisée comme stabilisateur pour protéger les virus dans les vaccins contre les conditions défavorables. C’est un additif préoccupant parce que certaines personnes ont des allergies à la gélatine, et recevoir un vaccin avec de la gélatine peut provoquer une réaction allergique, voire même déclencher l’anaphylaxie. Selon sa source (le porc), la gélatine peut également constituer une préoccupation religieuse pour les juifs et les musulmans.
 
9. Polysorbate 80 :
 
Le vaccin contre le VPH est administré principalement aux adolescents pour les protéger contre le virus du papillome humain (VPH), qui a été fortement lié au cancer du col de l’utérus, au cancer anal et même à certains cancers de la bouche. Ce vaccin et quelques autres contiennent un stabilisateur connu sous le nom de polysorbate 80, un émulsifiant utilisé dans certains aliments et cosmétiques. Bien qu’on ait signalé que le vaccin contre le VPH cause une insuffisance ovarienne prématurée chez les filles, des recherches sont nécessaires pour déterminer s’il existe un lien entre ce phénomène et le polysorbate 80 et/ou d’autres ingrédients du vaccin contre le VPH, comme l’aluminium. L’innocuité de l’utilisation de ce produit chimique dans les vaccins a été mal étudiée et, selon la fiche signalétique (FS) du polysorbate 80, il peut causer des effets nocifs sur la reproduction et le cancer d’après les données des essais sur les animaux. La fiche signalétique indique également qu’aucun test de sécurité n’a été effectué chez l’homme.
 
10. Tissus fœtaux humains avortés :
 
Un certain nombre de vaccins – y compris la varicelle, la rubéole, l’hépatite A, le zona et la rage – sont fabriqués à partir de cellules embryonnaires fœtales, et ce, depuis des décennies. La raison invoquée est que les virus ont tendance à mieux se développer dans ces cellules et que les cellules fœtales peuvent se diviser pendant longtemps avant de mourir. Toutefois, l’utilisation de cellules fœtales humaines pose la question de savoir comment l’ADN fœtal interagira avec le virus et, éventuellement, avec l’humain dans lequel il est injecté. On ne sait pas encore clairement quel type de réponse immunitaire dangereuse cela provoque, mais selon le «Sound Choice Pharmaceutical Institute», un organisme de recherche biomédicale, les taux d’autisme ont connu des pics évidents au cours des années où les vaccins fabriqués à partir de cellules fœtales humaines ont été introduits. À mon avis, les implications morales sont énormes.
 
Aussi inquiétant que chacun de ces produits chimiques puisse être en soi, les parents doivent aussi garder à l’esprit qu’aucune étude n’a été faite pour déterminer les effets synergiques potentiels de plusieurs ingrédients vaccinaux administrés en combinaison. Les problèmes d’innocuité sont d’autant plus graves si l’on considère que les nourrissons et les jeunes enfants reçoivent généralement plusieurs vaccins au cours d’une même visite au bureau. Alors que les compagnies pharmaceutiques et les organismes de santé aux prises avec des litiges prétendent sans relâche que les vaccins sont «sûrs et efficaces» (malgré le fait que les contribuables ont versé près de 4 milliards de dollars aux victimes de préjudices causés par les vaccins), les parents ont intérêt à faire leurs propres recherches avant de prendre des décisions concernant les vaccins pour leurs enfants – et à comprendre que là où il y a un risque, il faut faire un choix.
 
 
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